PLAS!!!
¡Un golpe seco!
¡Un ruido fuerte!
¡Algo desconocido!
Algo placentero, quizás...
¡Un CLICK importante!
Mi cerebro vuelve a mi salón...
¿Pero dónde estaba yo entonces?
Un milisegundo para asumirlo...
Otro milisegundo para decidir...
¿Otro?
¿Más?
¿Me entrego?
¿Sigo?
¿Qué pasará?
A este tío sólo le conozco de esta noche...
¿Controlará la situación?
¿Me arriesgo y disfruto?
...
No estoy preparado aún pero este tortazo ha sido uno de los más reflexivos de mi vida a día de hoy.
Xuxu dice:
ResponderEliminarVoici un thème intéressant : quand le rapport dominant/dominé s´inverse et que l´un prend la place de l´autre, l´espace d´un instant.
Au-delà du trouble et des questions que chacun se pose alors, c´est l´idée de prendre la place de l´autre qui se propose, chercher à vivre ce que vit l´autre pour mieux le comprendre et peut-être ainsi pouvoir plus lui donner ensuite.
Personnellement, je n´ai jamais levé la main sur celui qui me prenait. Cela ne m´a jamais traversé l´esprit en fait, j´aurai trouvé cela déplacé.
Bien sûr, enfoncer mes ongles dans les fesses ou les cuisses de celui qui me prend, au moment où je me sens abusé, pénétré, rempli de l´autre, cela ne compte pas. Cela marque juste l´intensité de la jouissance, le besoin de retenir celui qui me défonce comme pour en avoir encore plus, comme pour lui dire « je ne m´appartiens plus, je ne sais plus où je suis : entre entièrement en moi ! Transforme moi en simple réceptacle pour que tu jouisses !».
Ma seule expérience proche du rôle de dominant qui me vient à l´esprit est celle des très rares fois où j´ai été actif, toujours sur demande insistante de mon partenaire.
Là oui, je suis devenu ce que je cherche chez l´autre: un actif dominateur aux coups de reins profonds et violents.
Mon seul objectif était alors de faire plaisir à l´autre en lui donnant ce qu´il me demandait: de jouir par la bite je n´en garde pas de souvenir particulier, éjaculer n´était alors pas jouir mais une simple preuve du devoir accompli.
Et une seule fois, par surprise, cela a abouti sur un plaisir intense pour moi.
Je venais de jouir en sodomisant mon partenaire du moment.
Lui, animé par un sentiment d´humiliation de ce que je venais de lui faire subir, m´a alors retourné violemment et m´a pénétré fortement, sans préparation, en me disant « T´as vu comme ça fait mal ? », jusqu´à éjaculer en moi.
Cette pénétration, mélange de douleur puisque je venais d´éjaculer, et de retour à l´équilibre puisqu´il me dominait à nouveau, c´est le seul bon souvenir sexuel que j´ai en tant qu´actif dominant.
Comme quoi, on ne se refait pas et il faut savoir s´assumer tel que l´on est!
Personnellement c´est définitivement par le cul et en me sentant la propriété du macho que je me suis choisi, que je peux jouir pleinement.
Gracias por tu comentario
EliminarNo soporto la violencia, y en particular la violencia física. Siento ante ella un rechazo visceral, un rechazo casi violento. Paradojas. Nunca he visto una película de Tarantino, y el gore me horroriza. La idea que me peguen me rebela, y soy incapaz de pegar a nadie. En teoría.
ResponderEliminarSin embargo... sin embargo, me gusta que me pellizquen los pezones, que me den cachetes en las nalgas... cual es el límite? Es ese un camino abierto o una via muerta? Me temo que tampoco yo estoy preparado para entregarme a ese vértigo. Dudo que lo esté nunca. Mi prejuicio es muy viejo y arraigado. Y tiene justificaciones que solo la sinrazón de la pasión se atreve a franquear.
Esta luego el tema de la simetría. ¿Tu me pegas y yo te pego, o solo tu me pegas? o solo yo te pego? donde esta aqui el juego del sometimiento? Si en el fragmento de experiencia descrito el narrador es el sometido, el tortazo que recibe parece una novedad y una sorpresa ante la que, a pesar de la apreciación positiva, se niega a rendirse, lo que supone ya una rebeldía. Si, como estamos acostumbrados a creer los que leemos, quien habla es el amo, el bofetón que le propina su presunto esclavo, aparece como una rebeldía aun mayor, una autentica revuelta y casi una propuesta de inversión de roles. Y ahí está la gracia.
Vivre la revolution! Abajo la Bastilla! Y al derribarla, quedó en libertad el divino Marqués, allí encerrado por el poder opresor. Paradojas.
Ben's Slave
buenos dias, señor,
ResponderEliminarcomo un buen dobermann le matare, señor. solamente un orden de usted me podria frenar.
protego lo que amo, señor.
su cachorro h
gracias por tu comentario cachorro h
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