Rechercher de la protection, je vois le lien évident avec le post précédent « Nunca digas jamás… », sur l´utilisation du préservatif. Mais beaucoup a été dit sur ce thème et je ne vois rien à dire de plus que ce que j´ai déjà dit. Tout va très bien de ce côté-là.
Il y a pourtant une autre manière, plus intime, d´aborder la question de la recherche de protection dans un échange humain clairement établi sur une base sexuelle dominant/dominé.
M´offrir, corps et âme, à mon macho, aimer recevoir ses coups de ceinture, de martinet, sans pouvoir m´en plaindre puisque son sexe est en même temps enfoncé et coincé au fond de ma gorge, tête bloquée contre son pubis et baignant dans ma propre bave, boire sa liqueur de macho comme la recevoir au plus profond de mon ventre, lui demander de m´attacher, prendre plaisir à ce qu´il me torture les têtons jusqu´à ne plus savoir si cela me fait du bien ou mal, sentir son odeur de sueur testotéronée sous ses aisselles quand il s´écroule après m´avoir baisé : tout cela renvoie à mon besoin de me sentir protégé par un macho.
C´est s´offrir à l´autre, le reconnaître comme son macho en se soumettant à ses désirs, sans limite, à son besoin de dominer, pour justement se sentir protégé par ce dominant. Tel un chien qui peut accepter les coups et les ordres de son maître, sans broncher, puisque c´est son maître justement.
C´est l´espoir, qu´en cas de coup dur, le maître sache faire ce qu´il faut pour protéger son chien, tel une partie de lui-même, pour ne pas perdre ce plaisir que son chien peut lui procurer et parce que ce chien lui appartient justement.
Le chien peut aussi avoir à protéger son maître, parfois. Il le fait sans hésiter car est conscient que sans maître, il est perdu. Ce n´est pas la récompense qu´il recherche alors, c´est son instinct de survie qui le guide, simplement.
Je ne vois pas l´intérêt d´écrire à l´adresse 1blogaypostcoitum@gmail.com car aujourd´hui je me sens comme un chien qui a déjà trouvé son maître.
A quien no le agrada yacer y recogerse en un rincón apacible, tranquilo, encerrado en la paz y la seguridad sin imprevistos, dejando fuera responsabilidades e inquietudes. Sentirse dentro de un nido que alguien vigila y alguien defiende, alguien en quien depositamos toda la confianza y todas las decisiones, que nos protege de las inclemencias del mundo exterior y sus peligros. Algo casi atávico, casi un regreso al seno materno, al encierro uterino, a la pecera primordial. Sin embargo, una jaula de perro no me sugiere nada de eso. La imagen me produce un escalofrío de incomodidad, de angustia, de dolor y soledad. La jaula no me sugiere protección para quien está dentro sinó para quien se queda fuera y teme ser mordido. Quien tiene los colmillos más afilados?
a lo mejor parece una pregunta poco adecuada para un dobermann, señor: los dobermanns no buscan proteccion – la dan.
pero de todo lo que vemos, siempre hay algo detras, señor: creo que los dobermanns protegen tanto por no poder con la idea que ellos y les que mas quieren estan desprotegidos, señor.
¿quiero estar protegido, señor? siii, señor!! porque sentirme protegido me libera, me hace ser mas yo, mas puro...
pero curiosamente, con usted busco lo contrario: con usted no quiero protegerme, señor. es justo cuando estoy desprotegido con usted, totalmente vulnerable, cuando siento una libertad tan profunda, que me siento tan realizado, señor. imagino que con usted me siento tan protegido, que desnudarme muchisimo mas que mi cuerpo no tomo con un riesgo, sino como un gran regalo, señor.
Xuxu dice:
ResponderEliminarRechercher de la protection, je vois le lien évident avec le post précédent « Nunca digas jamás… », sur l´utilisation du préservatif. Mais beaucoup a été dit sur ce thème et je ne vois rien à dire de plus que ce que j´ai déjà dit. Tout va très bien de ce côté-là.
Il y a pourtant une autre manière, plus intime, d´aborder la question de la recherche de protection dans un échange humain clairement établi sur une base sexuelle dominant/dominé.
M´offrir, corps et âme, à mon macho, aimer recevoir ses coups de ceinture, de martinet, sans pouvoir m´en plaindre puisque son sexe est en même temps enfoncé et coincé au fond de ma gorge, tête bloquée contre son pubis et baignant dans ma propre bave, boire sa liqueur de macho comme la recevoir au plus profond de mon ventre, lui demander de m´attacher, prendre plaisir à ce qu´il me torture les têtons jusqu´à ne plus savoir si cela me fait du bien ou mal, sentir son odeur de sueur testotéronée sous ses aisselles quand il s´écroule après m´avoir baisé : tout cela renvoie à mon besoin de me sentir protégé par un macho.
C´est s´offrir à l´autre, le reconnaître comme son macho en se soumettant à ses désirs, sans limite, à son besoin de dominer, pour justement se sentir protégé par ce dominant.
Tel un chien qui peut accepter les coups et les ordres de son maître, sans broncher, puisque c´est son maître justement.
C´est l´espoir, qu´en cas de coup dur, le maître sache faire ce qu´il faut pour protéger son chien, tel une partie de lui-même, pour ne pas perdre ce plaisir que son chien peut lui procurer et parce que ce chien lui appartient justement.
Le chien peut aussi avoir à protéger son maître, parfois. Il le fait sans hésiter car est conscient que sans maître, il est perdu. Ce n´est pas la récompense qu´il recherche alors, c´est son instinct de survie qui le guide, simplement.
Je ne vois pas l´intérêt d´écrire à l´adresse 1blogaypostcoitum@gmail.com car aujourd´hui je me sens comme un chien qui a déjà trouvé son maître.
Gracias por tu comentario
EliminarA quien no le agrada yacer y recogerse en un rincón apacible, tranquilo, encerrado en la paz y la seguridad sin imprevistos, dejando fuera responsabilidades e inquietudes. Sentirse dentro de un nido que alguien vigila y alguien defiende, alguien en quien depositamos toda la confianza y todas las decisiones, que nos protege de las inclemencias del mundo exterior y sus peligros. Algo casi atávico, casi un regreso al seno materno, al encierro uterino, a la pecera primordial.
ResponderEliminarSin embargo, una jaula de perro no me sugiere nada de eso. La imagen me produce un escalofrío de incomodidad, de angustia, de dolor y soledad. La jaula no me sugiere protección para quien está dentro sinó para quien se queda fuera y teme ser mordido. Quien tiene los colmillos más afilados?
Ben's Slave
a lo mejor parece una pregunta poco adecuada para un dobermann, señor: los dobermanns no buscan proteccion – la dan.
ResponderEliminarpero de todo lo que vemos, siempre hay algo detras, señor: creo que los dobermanns protegen tanto por no poder con la idea que ellos y les que mas quieren estan desprotegidos, señor.
¿quiero estar protegido, señor? siii, señor!! porque sentirme protegido me libera, me hace ser mas yo, mas puro...
pero curiosamente, con usted busco lo contrario: con usted no quiero protegerme, señor. es justo cuando estoy desprotegido con usted, totalmente vulnerable, cuando siento una libertad tan profunda, que me siento tan realizado, señor. imagino que con usted me siento tan protegido, que desnudarme muchisimo mas que mi cuerpo no tomo con un riesgo, sino como un gran regalo, señor.
su cachorro h
gracias por tu comentario Cachorro H
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